Programmation

Lundi 10 février 2025

Spectacle vivant : Tout le monde aime les actrices

Tout le monde aime les actrices - Compagnie Du Soir Qui Penche

Lundi 10 février à 12h / durée : 1h
Théâtre du campus


D’abord, des castings.

Des textes appris par cœur.

Puis, peu à peu, des images en gros plan.

Lèvres maquillées.

Yeux de biche.

Cheveux relevés, tirés, colorés.

Visage transformé.

Et la foule de journalistes devant.

L’attente grandissante du public.

 

Comment la figure de l'actrice continue-t-elle de nous faire rêver ? Derrière l’artifice et les faux-cils, par quoi notre fascination est-elle maintenue ou activée ? Que projette-t-on sur les actrices ? Et de l’autre côté du miroir, au fond, qu’est-ce qu’être une actrice ?


Réservations : https://culture.sorbonne-nouvelle.fr/event/483579-fdc25-tout-le-monde-reve-detre-actrice-compagnie-du-soir-qui-penche 


Actrices et créatrices : Garance Schlemmer et Juliette Carnat. 

Vidéaste: Lucile Villanueva.

Danse : Fragments croisés

Fragments croisés : Mad Sissoko et Flerit Emma


Lundi 10 février 

à 15h / durée : 30 min

Kiosque C400


Fragments croisés est un duo qui fusionne l’improvisation en danse contemporaine avec des influences variées, telles que le Hip-hop et le Krump, avec des passages accompagnés de poésie. À travers ce projet, les deux interprètes, Emma et Mad, tissent un lien unique entre le mouvement et les mots. Ce spectacle interroge la manière dont nos corps peuvent se rencontrer, se répondre, et se contredire, mais aussi comment ils peuvent coexister et se transformer ensemble, dans le même espace.

Spectacle vivant : Corps incarné : voyage dans la représentation des adolescents dans les dramaturgies contemporaines

Lundi 10 février à 14h / durée : 30 mins

Théâtre de verdure


Pour les interprètes novices, étudiantes et étudiants en L1 encadrés par Sébastien Dalloni, l'enjeu sera de se prendre pour des ados, de se mettre dans la peau de celles et ceux qui se sentent généralement mal dans la leur. Dans ce voyage autour des dramaturgies contemporaines, le public assistera à trois déclinaisons de la génération adolescente, issues de Plutôt vomir que faillir de Rebecca Chaillon, La great fuite of la bourgeoisie de Romane Nicolas et Le gardien de mon frère de Ronan Mancec. 

Pour ajouter un peu d'inattendu et d'adrénaline, c'est le public qui piochera l’ordre de passage entre ces différentes scènes.

Après un temps d'échange autour de la présentation, une table ronde aura lieu avec Romane Nicolas, autrice et performeuse queer.

Stand-up : Maxence ? En corps !!

Maxence ? En corps !! : Maxence Steib


Lundi 10 février 

à 16h30 / durée : 40 mins 

Kiosque C400


Un stand-up qui fait corps… avec l’autodérision

Être trans et entrer dans le monde adulte, c’est un peu comme essayer de monter un meuble IKEA sans notice : t’es jamais vraiment sûr de ce que tu fais, mais tu espères que ça tiendra debout. Dans ce stand-up, je vous parle avec humour (et un soupçon de désespoir) de mes aventures : le coming-out à mes parents, ma politesse qui me met des bâtons dans les roues, et les moments où la vie me met en PLS, mais où j’ai réussi à me relever (parce que bon, il faut bien).

Alors, si vous avez envie de rire, d’apprendre des choses (très peu) et de passer un bon

moment, venez ! Promis, vous repartirez avec le sourire :)



Spectacle vivant : Faire corps

Lundi 10 février à 18h / durée : 30 mins

Théâtre du campus


« Faire corps » est un événement original et inédit, sous forme de conférence – performance, associant le mime à l’étude de la transmission des gestes des métiers d’art, d’après la thèse de la sociologue et mime Géraldine Moreau. La conférence s'accompagne d'une transcription performative du travail de recherche. Les témoignages des artisans, mis en corps par Mathieu Duval, ouvrent une réflexion sur les notions d’héritage et de transmission des savoir-faire. 


Réservations : https://culture.sorbonne-nouvelle.fr/event/483593-fdc25-faire-corps-g-moreau-et-m-duval 

Rencontre : Faire corps avec la migrance

Lundi 10 février

à 18h30 / durée : 2h

B012


Qu’advient-il alors de nos sociétés ? Qu’advient-il de notre humanité à l’ère de l’individualisme, de la concurrence exacerbée, des inégalités économiques et sociales croissantes, du repli sur soi et du communautarisme ? Comment réapprendre à vivre ensemble pour ne pas périr ensemble ? Rencontre pour en discuter avec l’écrivain et professeur Leonardo Tonus de la Sorbonne Nouvelle autour de sa création poétique.

Cet échange sera suivi d’une lecture de poèmes réalisée par le comédien Pierre Fabre, de la Compagnie Théâtrale Au chat qui danse

Organisation: Sandra Sibaud, Alessandra Bourle et Vitoria Chagas 


Mardi 11 février 2025

Lecture : Open Mic Poetry

Open Mic Poetry - Margot-Zoé Renaux et Morgane Maridet 


Mardi 11 février et jeudi 13 février
à 12h30 / durée : 1h30

Coin presse à la BSN (Ma) / Coin piano RDC Bas (Je)


Pour faire résonner le temps d'une pause des textes poétiques au sein de l'université. Notre sélection s'articule autour de trois thèmes : faire "contre-pied", faire le "dos rond", et "faire front". Trois postures corporelles et langagières auxquelles donner corps en donnant de la voix ensemble.

N'hésitez pas à apporter vos textes.


Je traverse le chagrin

Comme on traverse la pluie

Les cheveux dans le vent


Line Papin, Après l'amour

Rencontre : Dans La jungle, il n’y a pas de règles

Mardi 11 février

à 18h / durée : 1h30

Bibliothèque Gaston-Miron (BSN Niveau 1)


Venez rencontrer la bédéiste Zviane et la cinéaste Badminton (qui sont en fait la même personne, vous verrez), tout droit venues de Montréal ! Elles vous parleront de leur parcours à travers La Jungle, une série de 9 livres autoédités qui allient bande dessinées, illustrations, textes, collage, et scans de sopalins… bref un terrain de jeu qui redéfinit les règles de l’art.

Spectacle vivant : Jag et Johnny


Mardi 11 février à 18h / durée : 1h

Théâtre du campus


Une nouvelle mise en scène de Laurène Marx, l’histoire de Jag et de son chien Johnny confrontés aux réalités de notre société.


C’est l’histoire de Jag et de son chien Johnny. Jag vient de la classe populaire rurale blanche. Elle parle de la maison où elle a grandi, de ses oncles et tantes et elle raconte les anniversaires à la salle des fêtes, les mariages, le cocon familiale dysfonctionnel, la culture télé, l’alcoolisme. Ça parle aussi de folie, de précarité et de violence....

Coincée entre deux classes, telle une errante, Jag nous plonge dans un retour au bercail, avec toute la complexité qu’il engendre. La rencontre entre la langue de Laurène Marx et le phrasé de Jag donne un parler percutant et rythmé, chargé d’un vécu qui touche et qui fait passer du rire aux larmes plus d’une fois.


Réservations : https://culture.sorbonne-nouvelle.fr/event/415707-jag-et-johnny-laurene-marx-et-jessica-guilloud-theatre


Texte : Laurène Marx et Jessica Guilloud, dite Jag

Mise en scène : Laurène Marx

Avec : Jessica Guilloud, dite Jag et Johnny


Production : Cie Hande Kader/ Bureau des Filles

Rencontre Podcast : Groupies

RENCONTRE PODCAST : Groupies - Kahina At Amrouche et Juliette Soudarin


Mardi 11 février

à 18h30 / durée : 1h30

Salle C117


On a longtemps dénigré les fans ; mais dans Groupies!, on estime que leur expérience est précieuse. Dans ce podcast, Kahina At Amrouche et Juliette Soudarin se réapproprient ce terme stigmatisant et donnent la parole aux fans pour qu’ils et elles puissent raconter le jour de la rencontre avec leur artiste préféré·e.  

Dans les témoignages, l’expérience de la communauté, en ligne ou physique est un élément central. Comment faire communauté ? Qu’apporte la création d’un espace à soi lorsqu’on est fan ? Pour le Festival des Cultures, Groupies! convie universitaires et professionnel·les pour en discuter lors d’un enregistrement live d’un épisode du podcast. 

Mercredi 12 février 2025

Atelier corporel  : Madre de Dios

Atelier corporel Madre de Dios par Maria Hellemeyer et Melanie Alfie


Mercredi 12 février

à 14h / durée : 2h

Salle de pratiques théâtrales AR13


Madre de Dios est une vidéodanse créée dans l’Amazonie péruvienne, qui invite à explorer différents chemins où la danse, l'art, la science, la nature et la connaissance se rejoignent pour révéler de nouvelles réalités et façons d’être au monde. 

Le visionnage du court-métrage nous offrira l’opportunité de faire corps à travers un atelier de danse proposé par Mélanie Alfie, explorant la symbolique des animaux sacrés.

Danse : Corps

Corps - Juliette Allies


Mercredi 12 février 

à 15h  / durée : 30 mins

Théâtre de verdure


Corps est né d’une intention commune d’aborder le corps féminin à travers le mouvement, la danse et le chant. En alliant ces différents arts, cette création explore le thème de la libération de la parole ; comment un corps s’exprime autant par la voix qu’à travers des mouvements chorégraphiés. Fortement inspirées de l’univers des sorcières, et notamment des ritualisations, les autrices explorent un rythme, un souffle et une voix commune. Rejoignez notre périple de la sidération pour atteindre des couleurs nouvelles dans un doux mélange de chant et de corps.


Création et interprétation : Juliette Allies, Marianne Lorraine, Mathilde Lièvremont, Inés Chavarri. 

Spectacle vivant : Le cours de langue

Mercredi 12 février

à 15h / durée : 30 mins

Salle B205


Veronika Shuster, actrice ukrainienne, se tient seule sur scène, mais porte l’histoire de milliers d’immigrés. En explorant son parcours d’intégration en France, elle invite le public à se questionner sur l’identité, la langue et le lien qui unit les cultures. Ce cours de langue invite à tisser un dialogue entre nos différences, de rêver à une langue commune et de réfléchir aux défis de l’intégration, entre solidarité et solitude.

Lecture : Tant que la nuit ne finit pas - Océans I

LECTURE : Tant que la nuit ne finit pas - Océans I - Compagnie de l’Aparté


Mercredi 12 février
à 18h / durée : 1h30

Salle de pratiques théâtrales AR16


C’est la nuit comme une mer dans laquelle il faut nager, repousser les peaux et barboter dans la sueur. C’est la nuit déchirée par les néons et les vapeurs de l’alcool, les nécessités impérieuses du désir, les hurlements d’euphorie. Du comptoir à la cuvette des toilettes, la boîte de nuit est la scène d’une immense comédie humaine, où la farce la plus grotesque côtoie la pire des tragédies. Tant que la nuit ne finit pas propose d’écouter ces voix qui courent et se perdent dans le bruit de la nuit.


Texte : Manon Garnier

Comédien.nes : Nathan Aznar, Mathis Delumeau, Hugo Denis, Manon Garnier, Clémentine

Gaultier, Astrid Valentin

Musique : Arthur Coussement, Charlotte Guillaume, Henri Le Goff

Affiche : Nathan Aznar

Cinéma : Soirée courts métrages étudiants : Regards sur le corps

Mercredi 12 février 

à 18h / durée : 1h30

Cinéma du campus


X d’Aouregan Piriou

“x” est un film qui ne représente personne et chacun.e d’entre nous. Comment les traumatismes liés ou non au patriarcat marquent nos corps et viennent forger nos identités ?

Qu’est-ce que nous choisissons réellement de montrer de nous en tant que femmes ? C’est ces réflexions multiples qui sont retranscrites de manières abstraites dans ce court expérimental.



Don't Stop d’Antoine Liquier 

Sarah est une adolescente préoccupée. A quelques jours de son spectacle de danse, chaque minute compte, tout doit être parfait. Pendant la répétition, Sarah est noyée dans
ses pensées. Poursuivre lui semble impossible, mais elle n'est pas seule…


Sonore  de Lina Djid

Charles, un jeune homme ayant perdu la parole, rêve de devenir comédien. La scène est son lieu, le lieu où il parvient à s'exprimer. Il intègre alors une école de théâtre où il rencontre ses camarades et son professeur de théâtre. Malgré son handicap, Charles ne baissera jamais les bras et travaillera d'arrache-pied pour s'intégrer et faire valoir ses idées. 


Le galimatias d’Ivan Kazukov 

Le protagoniste ne maîtrise pas suffisamment la langue. Il remet en question la communication verbale, soulignant l’ambiguïté des mots et la liberté d’interprétation des phrases. En quête d’une alternative à la communication verbale, il apporte des solutions surréalistes et discutables. 


Allez monte de Léa Forestier

Noa, une jeune adulte de 22 ans, décide de retourner sur un lieu dans lequel elle a vécu, chargé d'autant d'amour que de violence à ses yeux. Camille, son amoureuse, l'accompagne jusqu'au bout, aussi impressionnée qu’inquiète par la détermination de Noa.


MEDEA de Iago Riet 

MEDEA est une adaptation audiovisuelle de la tragédie d’Euripide qui réunit les spécificités du théâtre, de la danse, de la musique et du cinéma. Au cours des cinq actes, les corps des acteurs interagissent avec les espaces de cinq lieux particuliers de la ville de Padoue. Les corps s'adaptent et se métamorphosent  en fonction des caractéristiques de chaque lieu. 


Réservations : https://culture.sorbonne-nouvelle.fr/event/483551-fdc25-seance-de-courts-metrages 

Jeudi 13 février 2025

Installation : Love Languages

Love Languages - Sarah Grinalds


Jeudi 13 et vendredi 14 février 

Salle de pratique muséale


Love Languages explore les formes de communication non verbales et silencieuses par lesquelles l’amour se manifeste. Ce projet sonde la manière dont les fréquences résonantes, le morse, et les micro-expressions peuvent véhiculer des messages d’amour et de connexion au-delà des mots. L’exposition se présente sous la forme d’une installation sonore et visuelle immersive, composée de paysages sonores basés sur des fréquences résonantes, de code morse, d’enregistrements de langues tonales, et de vidéos projetées en boucles. Elle combine des éléments sonores et visuels pour créer un espace introspectif où les visiteurs peuvent s’immerger et se déplacer librement.

Lecture : Open Mic Poetry

Open Mic Poetry - Margot-Zoé Renaux et Morgane Maridet 


Mardi 11 février et jeudi 13 février
à 12h30 / durée : 1h30

Coin presse à la BSN (Ma) / Coin piano RDC Bas (Je)


Pour faire résonner le temps d'une pause des textes poétiques au sein de l'université. Notre sélection s'articule autour de trois thèmes : faire "contre-pied", faire le "dos rond", et "faire front". Trois postures corporelles et langagières auxquelles donner corps en donnant de la voix ensemble.

N'hésitez pas à apporter vos textes.


Je traverse le chagrin

Comme on traverse la pluie

Les cheveux dans le vent


Line Papin, Après l'amour

Atelier d’écriture

Atelier d’écriture par Lilou Wischerop


Jeudi 13 février

à 14h30 / durée : 2h

Salle C212


Libérez l’encre de vos stylos en participant à un atelier d’écriture à forme courte et spontanée

! À travers de courts défis d’écriture d’une à dix minutes, plongez dans la thématique du festival « Faire corps », explorée sous toutes ses facettes. Grands écrivains, amateurs ou simples curieux, venez laisser vos mots danser sur le papier et partager un moment d’écriture conviviale et unique !  


Inscriptions  : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSd4Sfe3PARCVa3GwO93ig8_HithcttzHLclQ14YPJqNEl-hig/viewform 

Atelier : Jeu de mouvement - Raccord ou pas raccord ?

JEU DE MOUVEMENT : Raccord ou pas raccord ? - Yvette Assilaméhou-Kunz et Hélène Billy


Jeudi 13 février

Deux séances au choix : à 15h30 ou 16h30 / durée : 30 mins

Salle B115


Quand on rencontre un groupe ou une personne, il arrive qu’on se sente « raccord », en bonne résonance. Il arrive aussi qu’on se sente en décalage avec ces personnes, parce qu’elles semblent d’une autre génération, d’un autre milieu ou d’une autre sensibilité… Comment nous connaître et nous raccorder dans nos diversités ? Rejoignez-nous pour un moment ludique d’apprentissage par le corps de ce qui nous différencie et de ce qui nous unit. Par un jeu facile de mouvement, venez faire l’expérience de la multiplicité de nos expressions, de nos collectifs et de nos liens possibles.


Dans la limite des places disponibles.


Événement conçu et animé par Catherine Roignan.

Avec le soutien du Master 2 Communication interculturelle et Ingénierie de projets et avec le concours de l’association Mitra+, Vivre l’interculturel.

Atelier d’initiation Danses Traditionnelles suivi d’un Bal Folk

Jeudi 13 février

à 16h30 / durée : 3h (1h30 + 2h)

Hall RDC Bas - devant la salle de pratiques muséales


Atelier d'initiation aux danses traditionnelles d’une heure suivi d'un  bal orgiaque, onirique, et ondulatoire avec le groupe OÔO. 

Rugir ou susurrer des sabirs au tambour,

Faire feu de tout bois, amadouer le métal...

Cérémonie-folie, danses en liesse et délicatesse,

Imaginaire et magie noire !


Voix & percussions : Carine Fourcade 

Saxophone, scie musicale & voix : Pol Abasq 

Cornemuses, steel drum, flûtes & voix : Boris Trouplin 

Lecture : AFAB 

LECTURE : AFAB - Eulalie Combe


Jeudi 13 février
à 16h / durée : 1h

Salle de pratique théâtrale AR16


AFAB est un cycle de lectures performées, de textes écrits dans un style parlé et conçus pour des sessions d’écoute. En trois temps, l’auteur·ice et lecteur·ice explore le parcours de conscientisation de son corps, un corps assigné femme à la naissance (AFAB).

Eulalie se confronte à différentes injonctions portées sur les corps «minoritaires», à travers une immersion dans l'univers du mannequinat, du poème classique, de la chirurgie. En allant renverser les regards normés, binaires, cliniques et dominants par l’écriture et la lecture, ael se le réapproprie, accompagné·e des regards du public.

Spectacle vivant : Petites Mains

Petites Mains - Odile Macchi


Jeudi 13 février

à 18h / durée : 1h30

Théâtre du campus


« Made in China », sous cette étiquette se cachent des gens et des gestes invisibles mais bien réels, ceux des ateliers où travaillent des « petites mains ».


Dans un discours de février 2021, Xi Jinping annonçait la victoire totale dans l’éradication de la pauvreté en Chine. Soixante-dix ans plus tôt en France ou au Japon, on se félicitait de l’accès de la classe ouvrière aux fruits de la croissance. À partir d’archives et de récits ouvriers collectés dans ces trois pays par un collectif de chercheurs, Petites mains propose une fresque chronologique alternative, qui revisite l’histoire de la production industrielle à l’échelle de sa main-d'œuvre. Avec pour fil rouge la permanence d’un système économique aveugle aux désastres sociaux et environnementaux qu’il génère.


Réservations: https://culture.sorbonne-nouvelle.fr/event/415714-petites-mains-odile-macchi-theatre 


Mise en scène, enquête et écriture : Odile Macchi

Conception visuelle : Daniel Azélie

Création sonore : Fred Raby et Daniel Azélie

Scénographie : Raymond Sarti 

Régisseur son, lumière et vidéo : Fred Raby

Interprétation : Hélène Rencurel, David Seigneur et Daniel Azélie


Production Si et Seulement Si

Coproduction l’ANR Eurasemploi (Agence Nationale de la Recherche), la Scène de Recherche de l’ENS Paris Saclay et les Musées de Troyes

Avec le soutien du Théâtre Gérard Philipe – Centre Dramatique National de Saint-Denis, de l’Espace Gérard Philipe de Saint André les Vergers et l’Association Culturelle Othe Armance (ACOA)

La compagnie est subventionnée par la ville de Troyes.


Spectacle accueilli en coréalisation avec le service culture de l'université Paris-Cité.

Rencontre : Une heure, Un auteur

RENCONTRE LITTÉRAIRE : Une heure, Un auteur avec Flora Lecomte


Jeudi 13 février

à 18h / durée : 1h

Bibliothèque Sorbonne Nouvelle


Venez découvrir le roman graphique Magdalena Femmes du Fleuve issu d'une recherche-création sur la vie des paysannes habitant sur les rives du fleuve Magdalena en Colombie. Il parcourt les histoires de huit femmes et les récits qu'elles tissent en relation avec les gens du fleuve, l'eau, la faune, la flore. 


Intervenantes : Carolina Hernández et Flora Lecomte, doctorantes en géographie au CREDA, Laura Acero, écrivaine colombienne. 

Modération : Mathilde Périvier, éditrice des éditions de l’IHEAL et traductrice.

Cinéma : Midsommar

PROJECTION : Midsommar - Ari Aster


Jeudi 13 février 

à 18h / durée : 2h30

Cinéma du campus


Avertissement : certaines scènes peuvent marquer les esprits sensibles

Dani et Christian sont sur le point de se séparer quand la famille de Dani est touchée par une tragédie. Attristé par l’épreuve que traverse la jeune femme, Christian ne peut se résoudre à la laisser seule et l’emmène avec lui et ses amis à un festival estival qui n’a lieu qu'une fois tous les 90 ans et se déroule dans un village suédois isolé.

Mais ce qui commence comme des vacances insouciantes dans un pays où le soleil ne se couche pas va vite prendre une tournure beaucoup plus sinistre et inquiétante.

Vendredi 14 février 2025

Installation : Love Languages

Love Languages - Sarah Grinalds


Jeudi 13 et vendredi 14 février 

Salle de pratique muséale


Love Languages explore les formes de communication non verbales et silencieuses par lesquelles l’amour se manifeste. Ce projet sonde la manière dont les fréquences résonantes, le morse, et les micro-expressions peuvent véhiculer des messages d’amour et de connexion au-delà des mots. L’exposition se présente sous la forme d’une installation sonore et visuelle immersive, composée de paysages sonores basés sur des fréquences résonantes, de code morse, d’enregistrements de langues tonales, et de vidéos projetées en boucles. Elle combine des éléments sonores et visuels pour créer un espace introspectif où les visiteurs peuvent s’immerger et se déplacer librement.

Atelier de danse

Atelier de danse par Noémie Machado 


Vendredi 14 février

à 10h / durée : 2h

Salle de pratique théâtrale AR13


Débutant(e) ou confirmé(e), venez partager un moment de danse avec nous lors de notre atelier chorégraphique. En s'inspirant du thème du festival "Faire corps" nous travaillerons ensemble une chorégraphie pour finir par un moment de création libre en groupe/binôme. Si vous êtes intéressé(e) et que vous souhaitez faire corps en danse dans un environnement bienveillant rejoignez-nous ! 

Danse : Les corps invisibles

Vendredi 14 février

à 12h  / durée 1 h 

Théâtre du campus


C’est un jeudi comme les autres : le métro stationne, le réveil passe sous silence, le caddie se remplit, la soirée déborde, la routine habite la scène… Des corps se donnent à voir ; ils travaillent, se figent, entendent, respirent, se livrent, patientent, s’accrochent, se compressent, se violentent… 

Ni psychologiques, ni romanesques, ni rationnels, ni politiques, ni émotionnels, nous sommes des corps qui parlent et qui agissent. Une expérience à la fois intime et collective s’empare du plateau. Nous existons sans paraître, nous sommes des corps invisibles… 


Actrices et metteuses en scène : Océane Lhéritier et Margot Lucas 


Réservations : https://my.weezevent.com/les-corps-invisibles-theatre-de-la-sorbonne-nouvelle 

Danse : Corps en poésie

Vendredi 14 février

à 14h / durée : 30 mins

RdC Bas - devant la grande oeuvre


Imaginer, se rencontrer, danser, ensemble vers l’imaginaire de chacun.e. Ces idées animent les participant.e.s de l’Atelier du vendredi. Cette restitution rendra compte du travail des danseuses et danseurs de l'atelier qui partageront leurs mouvements et leurs expressions avec le public. 

Atelier BD : Typographie imparfaite pour la bande dessinée    

Vendredi 14 février

à 14 h / durée : 3h

Salle A101 de la BSN


En bande dessinée, la typographie est souvent mise de côté au profit de l’apprentissage du

dessin. Pourtant, le texte écrit à la main permet d’expérimenter beaucoup de choses, à condition de ne pas trop se prendre au sérieux ! Venez découvrir toutes sortes de manières d’aborder la typographie avec la bédéiste Zviane.

Conférence-débat : Déjouer les clichés : quand les arts libèrent les corps

Vendredi 14 février

à 15h / durée : 2h

B115


Pensée autour du spectacle de Betty Tchomanga Histoire(s) décoloniale(s) #Emma, cette rencontre vise à interroger les choix esthétiques d’artistes qui déjouent les assignations identitaires et déconstruisent les clichés relatifs à la ligne de couleur induite par leurs corps sur les scènes

contemporaines. Ce sera également l’occasion de revenir sur les parcours d’artistes et de déceler les traces des stratégies de représentations qui, souvent à la croisée des arts, permettent le surgissement d’un corps décolonial.


Intervenantes :  Sylvie Chalaye, spécialiste de la création théâtrale afro-contemporaine ; Olivia Mabounga, comédienne, autrice et metteure en scène ; Sabine Pakora, artiste et comédienne.

Organisation : Donato Lacirignola, post-doctorant en création théâtrale franco-africaine

Spectacle vivant : Histoires décoloniales

Vendredi 14 février

à 18h / durée : 1h

Salle B013



Comment les corps, porteurs de mémoires, relient des histoires singulières à notre histoire commune ?


Avec la série chorégraphique Histoire(s) Décoloniale(s), Betty Tchomanga poursuit un travail autour des récits et des histoires qui relient l’Occident et l’Afrique. Chaque épisode aborde l’histoire coloniale et son héritage par le prisme d’une histoire singulière, d’un corps, d’un vécu. L’épisode #Emma se concentre sur le début de la modernité et la période de la traite transatlantique (1492-1849). Grâce au travail rythmique et à l'expressivité du corps et du visage, ce solo tend un miroir déformant sur le récit d'un passé colonial et esclavagiste et interroge les rapports de force qui en découlent.


Réservations: https://culture.sorbonne-nouvelle.fr/event/415721-histoire-s-decoloniale-s-emma-betty-tchomanga-danse 


Conception : Betty Tchomanga

Collaboration artistique et interprétation : Emma Tricard

Création sonore : Stéphane Monteiro

Costumes : Marino Marchand en collaboration avec Betty Tchomanga

Scénographie et accessoires : Betty Tchomanga en collaboration avec Vincent Blouch


Production Association GANG

Coproduction Le Quartz scène nationale de Brest, Les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis, Le Gymnase CDCN de Roubaix, Le Triangle Cité de la danse de Rennes, Danse à tous les étages, La Maison danse CDCN d’Uzès Gard Occitanie et Le Théâtre de la Bastille – Paris.

Avec le soutien de : Le Mac Orlan – Ville de Brest, CAC Passerelle – Brest, Collège Saint-Pol-Roux – Brest, CN D – Pantin.

Avec le soutien financier de la DRAC Bretagne (compagnie conventionnée par le Ministère de la Culture), de la Région Bretagne et de la Ville de Brest.

Spectacle vivant : Quand je serai grande je serai actrice etc

Quand je serai grande je serai actrice etc - Compagnie Anémone


Vendredi 14 février

à 19h / durée : 1h10

Théâtre du Campus


La scène, des désirs et nous. Comment faire ? Par où commencer ? Comment apprivoiser ce quelque chose qui grandit en nous? Le plateau devient un espace d’expérimentation où les idées prennent vie. Ce spectacle est une traversée du processus créatif, ses doutes mais aussi ses plaisirs. Une création enthousiaste et engagée !   


Réservations : https://culture.sorbonne-nouvelle.fr/event/483607-fdc25-quand-je-serais-grande-je-serais-actrice-compagnie-de-lanemone 


Metteuses et en scène et comédiennes: Garance Loukine et Jeanne Lasbleis-Renouvel

EXPOSITIONS

Exposition : Corps en Quête : Identités, Rébellions et Perte de Repères

Corps en Quête : Identités, Rébellions et Perte de Repères - Stella Milanovic


Du lundi 10 au vendredi 14 février

Kiosque C400


Stella Milanovic pratique la photographie argentique et le collage depuis son arrivée à Paris, il y a trois ans. Cette exposition aborde les thèmes de l’identité, du corps, de la critique sociale, et du sentiment de perte de repères. Les photographies, disposées de manière immersive, créent un parcours déambulatoire qui invite le public à se confronter aux sentiments de perte et de confusion fréquemment ressenti par les jeunes.

Exposition : Les statues vivent aussi

Les statues vivent aussi - Jana Tvorogova


Du lundi 10 au vendredi 14 février

Hall principal


Les statues vivent aussi est une exposition de collages photographiques explorant la notion du corps dans l’art comme métaphore de l’indépendance artistique. Inspirée par le mythe de Pygmalion, où un sculpteur voit sa statue prendre vie, l'œuvre questionne les concepts du corps statique et dynamique, de l’animé et de l’inanimé, ainsi que de l’émancipation artistique. L’art ne se limite pas à la copie de la nature, mais devient un corps à part entière, vivant et évoluant au-delà de son créateur/sa créatrice.

Exposition : Calambres en el alma

Calambres en el alma - Camilo Angel Pacheco


Du lundi 10 au vendredi 14 février

Kiosque C200

Calambres en el alma est une exploration artistique qui place la sensibilité émotionnelle au centre, comme un territoire vivant, mutable et profondément lié au corps. Inspiré par la sensibilité de l’artiste, ce projet utilise la fragmentation comme ressource symbolique et matérielle pour dialoguer avec le corps en tant qu’espace de mémoire et de guérison. Les œuvres exposées oscillent entre formes solides, liquides et diluées, reflétant les états émotionnels qui le traversent. Les images évoquent des paysages fragmentés, des couronnes d’épines et des figures brisées, nourries par des souvenirs personnels, des photographies et des moments intimes. Chaque œuvre est une tentative de capturer la sensibilité comme quelque chose d’éphémère mais persistant, traduisant l’intangible "crampe" émotionnelle qui émerge du plus profond de l’être.